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L'IGNORANCE
Il m'a fallu beaucoup de temps
Pour pouvoir enfin t'écrire
Ce poème aux rires d'antan
Qui voudrait un jour te dire...
J'ignore comment te parler
D'une chose si forte et si belle
Au point que je sens ma gorge se nouer
Quand je t'approche et que je t'interpelle
J'aimerai - oh oui - tout simplement
Avoir le courage de te dire: «je t'aime»
Mais si mon coeur connaît tous mes sentiments
Ma timidité se joint à ma peine
Ma peine de ne pouvoir t'exprimer mon amour
De ne savoir comment je dois te parler
Mais je crois, que jamais les jours
Ne seront pour moi plus que la clarté
Il m'a fallu beaucoup de temps
Pour pouvoir enfin t'écrire
Ce poème aux rires d'antan
Qui voudrait un jour te dire...
J'ignore comment te parler
D'une chose si forte et si belle
Au point que je sens ma gorge se nouer
Quand je t'approche et que je t'interpelle
J'aimerai - oh oui - tout simplement
Avoir le courage de te dire: «je t'aime»
Mais si mon coeur connaît tous mes sentiments
Ma timidité se joint à ma peine
Ma peine de ne pouvoir t'exprimer mon amour
De ne savoir comment je dois te parler
Mais je crois, que jamais les jours
Ne seront pour moi plus que la clarté
Literature
LA VIE QUOTIDIENNE DES 7 PECHES CAPITAUX
Acte I, scène I
Lieu : l'enfer, au sein d'une tour luxueuse, dédiée aux personnalités du lieu. On entre dans le bureau de travail des 7 péchés capitaux, juste à côté de celui "Succubus, Inc". La scène présente les 7 personnages en pleine réunion, style "brainstorming d'entreprise."
Paresse : j’ai pas la forme aujourd’hui…
Colère : la forme de quoi, grosse pute ?
Luxure : on m’appelle ?
Jalousie : si c‘est « grosse », oui…
Gourmandise : oh oui des grosses pâtisseries…
Avarice : … avec l’augmentation du sucre et du beurre, tu n’y penses pas !
Orgueil : je vais les faire moi-même,
Literature
Vautour
Griffe et lacère
L'intérieur de ton corps,
Tempête d'hiver,
La saison de la mort.
C'est un alexandrin qui se doit d'amorcer
Le vautour, l'ouragan de vingt mots composé.
Allegro/152 bpm
C'est le sang et l'encens qui se mêle à mes sens,
S'entremêle et descend, oblitère et pressens
Et les serres sauvages, l insipide sauvage,
Mésestime de soi ,écarlate est la voie,
C'est l'Amour et la Mort,
C'est le temps, c'est le sort
Le silence suave, ni salut ni partage.
Satan rôde ici bas, sur la lande saline,
Satyrique césure,
Ce bassin silencieux sur le sel de mes yeux.
Pause/0 b
Literature
Vague a l'ame
Vague à l'âme
Que sommes-nous sinon une vague musique
Qui caresse un instant les oreilles du monde
Avant de s'effacer comme les ondes
Qui troublent quelques secondes un lac chimérique
Et j'ai le vague à l'âme
Qu'étais-tu sinon le vague murmure d'un baiser
Au coin de mes lèvres déposé
Et dont la chaleur déjà s'était estompée
Lorsque tes lèvres se sont écartées
Et j'ai le vague à l'âme
Hantée de tes charmes
J'ai le vague à l'âme
Rougie de mes larmes
J'ai le vague à l'âme
Que reste-t-il de nous lorsque le son s'es
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Un poème de jeunesse, un de mes préférés, écrit pour une jeune fille qui l'a sans doute oublié depuis comme elle a (probablement) du m'oublier après toutes ces années.
Peu importe, si jamais elle devait passer par ici, elle se reconnaîtrait.
Peu importe, si jamais elle devait passer par ici, elle se reconnaîtrait.
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Il m'a coûté des ans
Pour oublier de frémir
Sous tes vers diamants
Que j'aimais tant lire
Je ne sais comment taire
Chose si belle et si cruelle
Sans que ma gorge ne se serre
Face à ce qui fut réel
Oh ! Je voudrais, tout timidement
Franchir les portes d'autrefois;
J'aimerais tant découdre le temps
Pour en toi retrouver ma foi.
Demeurent des bribes d'amour
Éparpillées par les marées;
Demeure l'espoir, encore et toujours
D'à tout jamais me les remémorer.
Ca m'a inspirée la version opposée. Bravo pour toute ta sensibilité.
Pour oublier de frémir
Sous tes vers diamants
Que j'aimais tant lire
Je ne sais comment taire
Chose si belle et si cruelle
Sans que ma gorge ne se serre
Face à ce qui fut réel
Oh ! Je voudrais, tout timidement
Franchir les portes d'autrefois;
J'aimerais tant découdre le temps
Pour en toi retrouver ma foi.
Demeurent des bribes d'amour
Éparpillées par les marées;
Demeure l'espoir, encore et toujours
D'à tout jamais me les remémorer.
Ca m'a inspirée la version opposée. Bravo pour toute ta sensibilité.